“Arrivé au sein de Medicoop France le 16 août 2021 en tant qu’assistant d’agence, j’ai eu l’opportunité d’évoluer en tant que chargé de recrutement au 1er janvier 2022.
Ce nouveau poste me donne l’occasion de mettre à profit les compétences transversales acquises dans mon expérience professionnelle : le contact humain, l’organisation, le travail en équipe, l’autonomie, la capacité d’adaptation et la méthodologie. Sans diplôme ni expériences dans les RH, j’ai pu rapidement me former en interne sur les différents aspects par un accompagnement de l’équipe.  Cette mobilité en interne m’a permis de transférer mes compétences, de me former et d’évoluer professionnellement.
En effet, le peu d’expériences et de diplômes n’a pas entamé la confiance que porte Medicoop France sur mon évolution.”

Sonia A., Accompagnante Educatif et Social diplômée depuis 2002 a rejoint l’agence de MEDICOOP NICE en tant qu’intérimaire en février 2020. Ayant tout particulièrement une appétence et un réel savoir-faire dans le domaine éducatif,  en mission au foyer d’accueil médicalisé axé soin, progressivement,   elle  préfère oeuvrer  au foyer d’accueil occupationnel. Cette expérience, réussie, lui confirme sa vocation d’éducatrice.

2 ans de missions régulières au sein de la Villa APRAXINE de l’IRSAM (résidents adultes présentant une déficience sensorielle avec ou sans pathologie associées),  permettent à Sonia A. d’entreprendre une Validation Des Acquis d’Educatrice spécialisé. La Villa APRAXINE  appuie sa démarche et lui propose un poste en CDI au cœur de son équipe éducative.

De part ce changement de statut et cette nouvelle opportunité,  Sonia A.  tient a poursuivre sa collaboration  avec l’agence MEDICOOP NICE pour diversifier ses d’activités et de faire profiter les coopérateurs de ses compétences acquises à leurs côtés.

F. Le Berre, responsable développement et E. d’Aloise responsable d’agence de Nice visitant des établissements  pour être aux plus près des besoins, nous partage  une tendance thérapeutique qui impacte le spectre des missions intérimaires.
A. Bruchon, Cheffe de service, de l’Institut Thérapeutique, Éducatif et Pédagogique de Champtercier – établissement de L’APAJH 04 – accueillant des enfants, adolescents ou jeunes adultes en des difficultés psychologiques, partage  l’activité d’équithérapie testée avec succès. Cette animation  soigne grâce aux chevaux les difficultés d’ordre psychique : l’angoisse,  le retard intellectuel ou de langage, le manque de confiance en soi ou encore certains troubles du comportement. Cette discipline, souvent utilisée dans le traitement des troubles de l’autisme, permet d’appliquer les techniques et les principes thérapeutiques dans un cadre ludique et dans une ambiance apaisante, avec l’aide d’un cheval comme médiateur.
L’équithérapie est une  catégorie des soins en dehors des cadres réglementés. La  majorité des équithérapeutes sont des professionnels médico-sociaux ayant  une connaissance du cheval et ont  exercé l’équithérapie « sur le tas », souvent par le biais de stages,  de formations courtes ou  en binôme avec un moniteur d’équitation. D’autres  professionnels médico-sociaux , cavaliers sont  formés à l’équithérapie dans un parcours de formation continue long (entre 400 et 600 heures sur 1 à 3 ans).

MEDICOOP France vient d’obtenir la note de 93/100 pour notre index égalité homme-femme 2021 pour l’ensemble du personnel permanent.

L’index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, institué par la loi Pour la liberté de choisir son avenir professionnel de 2018, a été conçu pour mesurer les écarts de rémunération entre les sexes et mettre fin aux inégalités.

Nous restons déterminés à poursuivre cette démarche d’amélioration continue dans l’optique d’atteindre le score de 100/100.

Mme Ibanez,  IDE, la trentaine ayant reçu le catalogue de formation a fait une demande en langue de signes auprès de l’agence de Perpignan. Cette infirmière cumule un emploi en néphrologie de nuit et des missions d’intérim en Ephad. Cela demande de nouvelles acquisitions et laisse entendre une envie de compléter ses intervenions dans un domaine   strictement  sanitaire par un accompagnement  plus proche du  médico-social.
En effet, l’intérim lui “permet de changer régulièrement de lieux d’exercice, de travail, en fonction des structures les soins, les besoins des personnes soignées sont complètement différents. Ce qui me plaît, c’est de pouvoir aller dans les lieux éloignés et peu attrayants, c’est une manière pour moi de donner du sens à mon métier” .
Pour elle, “la barrière de la langue existe aussi pour les personnes sourdes / malentendantes. Je sais parler Anglais, Espagnol, ce qui me permet de communiquer avec presque tout le monde… presque. Je me rends compte que ne pas comprendre ni pouvoir s’exprimer lorsque nous sommes en présence de personnes souffrant de surdité, malentendante, est vraiment difficile à gérer” et de ce fait corrobore les propos de J. Dagron, Médecin Fondateur  de la première unité de soins pour sourds qui observe “ça et là, des professionnels de santé qui s’engagent dans cette voie, mais cela se fait de manière spontanée et non organisée alors que les besoins des sourds en matière de santé n’étant pas suffisamment couverts”.
En France, peu de médecins et de IDE signent correctement  et il en faudrait 200 à 300 en plus. C’est un langage universel qui peut s’adresser au plus grand nombre, aux personnes illettrées, mais aussi à tous les sourds quelle que soit la langue des signes qu’ils pratiquent.